FDA Mag

Les nouvelles du web et d'ailleurs !

En compagnie de Richard Bohringer dans Subway, de Luc Besson

Luc BessonBesson, c’était une ambiance bon enfant, sympa. Mais il n’y avait pas la profondeur qu’il y a dans « 37°2 » qui raconte la seule histoire d’amour qui nous concerne vraiment, la passion entre deux êtres, l’amour fou ». Jamais à court d’arguments lorsqu’il s’agit de défendre le film de Beineix, Jean-Hugues Anglade ne cache pas que son approche du rôle qu’il joue n’a pas été des plus faciles. « Comme « 37°2 » bascule entre la comédie et le drame, il fallait trouver des ressorts mentaux pour pouvoir, un même jour, être heureux et enjoué le matin, triste et grave l’après-midi. C’était assez épuisant. Dans ces cas-là, je suis comme quelqu’un qui va tomber dans les pommes et qui essaie jusqu’à l’infime seconde de ne pas s’évanouir. Sur ce film, je n’avais pas le droit de me planter. J’ai souvent pensé à Dewaere dans « Série noire», c’était son film-clé, comme celui-ci pour moi… » Jean-Hugues Anglade a donc tout intérêt à garder son petit accès de fièvre le plus longtemps possible, son médecin ne lui en tiendra sûrement pas rigueur…

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *